Comment détecter le syndrome de Cushing chez le cheval ?
Le syndrome de Cushing équin (ou PPID) se manifeste souvent par une combinaison de signes visibles : fonte musculaire rapide, poil long et hirsute (hypertrichose), léthargie, mais aussi soif et urines excessives. Un cheval qui peine à muer et présente une posture anormale peut aussi être un cheval Cushing. Une prise de sang pour doser l’ACTH permet de confirmer le diagnostic.
Dans les cas avancés, le Cushing peut être associé à des épisodes de fourbure, rendant l’identification et la prise en charge rapide indispensables.
Soigner naturellement un cheval atteint de Cushing
Une approche naturelle permet de soutenir l’organisme du cheval Cushing tout en limitant les effets secondaires. Le gattilier est reconnu pour aider à la régulation hormonale, tandis que l’artichaut et le chardon marie facilitent le drainage hépatique et l’élimination des toxines. Pour stimuler les défenses immunitaires, l’échinacée constitue un soutien précieux.
Notre complément naturel Distri’Cush combine ces plantes pour accompagner le cheval Cushing au quotidien.
? Besoin d’agir sur la circulation et prévenir la fourbure ?
Un cheval Cushing est souvent sujet à une mauvaise circulation sanguine et à l'engorgement. Distri'Tonic Blood aide à :
- ✅ Soutenir la vascularisation et l’élimination des toxines
- ✅ Accompagner les chevaux en phase de fourbure
- ✅ Renforcer l’action de Distri’Cush en période critique
? Découvrir Distri’Tonic Blood
La tonte du cheval Cushing : un geste utile
Le cheval Cushing peine à muer, ce qui le rend vulnérable aux coups de chaleur. Il est donc conseillé de le tondre, parfois même en été. Certains peignes sont plus adaptés à ce type de poil. La tonte permet aussi de mieux surveiller l’état de la peau et d’éviter les infections liées à une sudation excessive.
➡️ Envie d’en savoir plus ? Consultez notre article dédié au syndrome de Cushing ou découvrez notre solution naturelle Distri’Cush.